L’homme et la couleuvre

« […] Mes jours sont en tes mains, tranche-les : ta justice,
C’est ton utilité, ton plaisir, ton caprice ;
Selon ces lois, condamne-moi ;
Mais trouve bon qu’avec franchise
En mourant au moins je te dise
Que le symbole des ingrats
Ce n’est point le serpent, c’est l’homme. […] »

BOFA Gus (Gustave BLANCHOT, dit), L'homme et la couleuvre © Adagp, Paris, 1928

BOFA Gus (Gustave BLANCHOT, dit), L’homme et la couleuvre
© Adagp, Paris, 1928

BOFA Gus (Gustave BLANCHOT, dit), L'homme et la couleuvre © Adagp, Paris, 1928

BOFA Gus (Gustave BLANCHOT, dit), L’homme et la couleuvre
© Adagp, Paris, 1928